Les habitants des cités AADL d’Aïn Beida dont la cité 2 500 et 2 700 logements sont montés au créneau encore une fois afin de dénoncer leurs problèmes quotidiens. Ils mettent au premier plan la non-ouverture de la polyclinique. En effet, les habitants décrivent surtout le manque de polyclinique vu une époque où la santé est primordiale. Un poste de police pour se sentir en sécurité et protégé ainsi que le manque de sérieux de la part des opérateurs de transport urbain qui desservent leurs cités. Les habitants dénoncent aussi l’inexistence de commerces dits de base. Décidément, le calvaire des résidents de ces deux cités AADL ne semble pas connaître le bout du tunnel. Ces habitants se plaignent d’un cadre de vie obsolète. Une cité cernée par tous les problèmes et que le manque de commodités a transformée en une simple cité-dortoir sans âme et sans joie de vivre
